Le site Silver47 assume son ouverture d'esprit quant aux
assertions pouvant être trouvées sur l'ORMUS. Si les Ormes ne
bénéficient d'aucune reconnaissance du milieu scientifique,
leur histoire méconnue et insolite mérite de s'y attarder.
Silver47 propose son expérience dans ce domaine
d'exploration excitant qu'est l'ORMUS. Toutes les méthodes de
préparation sont mises gratuitement à la disposition du
lecteur, afin que chacun puisse en faire l'expérience depuis
chez lui moyennant curiosité et travail pour l'assimilation de
cette technique.
Dans les années 1970 le champ de recherche sur l'ORMUS fut
soutenu activement par David Hudson, un riche fermier
américain. Depuis sa mort les recherches autour de l'ORMUS
fonctionnent essentiellement de manière empirique. Les
améliorations et découvertes découlant des efforts d'amateurs répartis partout dans le monde. De nombreux groupes de discussion
et ateliers dédiés à l'ORMUS travaillent pour une
popularisation de cette substance.
L'acronyme ORMES signifie littéralement "Orbitally Rearranged
Monoatomic Elements". Le terme latinisé "Ormus" quant à lui, est le nom
générique employé pour toute préparation contenant ces
éléments. Les préparations Ormus sont élaborées à partir
d'or. D'autres sont
préparées à partir du cuivre. Une autre méthode d'extraction, la plus appliquée,
est ce que l'on nomme la méthode "humide" préparé à partir de sel de mer brut. Celui-ci
contenant naturellement un large spectre de minéraux. Le
résultat de cette préparation détaillée
ici est un précipté d'éléments minéraux très concentrés. Dans le jargon Ormus, on parle de minéraux à l'Etat-M.
Plusieurs théories existent sur la nature exacte de ce précipité minéral. Que nos lecteurs auront le loisir de chercher sur la toile. Nous nous attarderons plus sur les effets pratiques de l'ormus notamment dans le domaine de l'agriculture. Ce produit
étant basé sur un mélange innofensif de sel et de potasse, il
ne présente pas de danger ou de contre-indication.
Histoire d'une découverte Par Roger Taylor. Traductions de l'anglais par Julien Frère
L’histoire débute à Phoenix (Arizona) en 1976. Un certain
David Hudson, riche agriculteur cotonnier possédant des
dizaines de milliers d’acres de terre est le principal acteur
de cette découverte.
En Arizona, le sol est particulièrement riche en Sodium et
doit subir un traitement à l’acide sulfurique afin d'être
rendu exploitable. Ainsi, le mélange eau et acide peu à peu
brise la croute alcaline, puis on y ajoute du carbonate de
Calcium et on obtient enfin un sol propre à la culture en
quelques années. Soumise à de tels traitements, la terre sèche
s’est mise à produire une intense lueur blanche, aprés de
fortes pluies, par la suite cet « or blanc » disparaissait
totalement, puis revenait cycliquement aprés un orage.
Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder
des propriétés rares et renfermer des métaux précieux, Hudson
entreprend un jour d’en commander l’analyse quantitative
complète. A la stupéfaction des laborantins, une partie des
éléments défient les analyses puisqu'ils ne présentent aucune
caractéristique métallique. aucune réaction chimique ou
signature spectroscopique.
Disposant de moyens financiers considérables Hudson décide de
pousser plus loin les investigations et engage des chimistes
pour résoudre cette énigme. Les résultats détaillés figurent
dans les 22 brevets qu’il déposera (ici).
. Les tests révélèrent notamment que les ORMEs
changent de poids et d’aspect en fonction des températures
auxquelles ils sont soumis. Les
expériences furent répétées par plusieurs laboratoires avec
les mêmes résultats. Les conclusions furent que les ORMEs ont des attributs de supraconductivité (même la
lumière peut être transmise par eux). Le brevet de Hudson contient une carte analytiquequi illustre ces effets. Hudson donne ensuite de nombreuses conférences publiques.
Les allégations de Hudson sont très audacieuses, et espérant
leur trouver une validation théorique, j’ai tardé à écrire à
leur sujet. Bien qu’aucune recherche universitaire ne semble
être en cours, un groupe informel de scientifiques et de
profanes planchent sur la question depuis quelques années.
Sans aucun financement ni soutien des institutions publiques
et sans le moindre lien avec Hudson, ce groupe a réussi à
reproduire certains de ses résultats. Leurs travaux sont
présentés dans les articles que Barry Carter, l'un des
principaux spécialistes actuels de l'ORMUS, publie sur un site
Web très complet abordant les divers aspects chimiques et physiques de ces
matériaux ainsi que les méthodes d’extraction et d’analyse.
Des noix comme des mandarines
Si il est difficile d’obtenir des données scientifiques sur la santé humaine, celles issues des expériences sur les plantes sont incontestables.
En agriculture, la préparation la plus courante, mais aussi la plus simple et la moins chère, consiste en un concentré ordinaire obtenu à partir de l’eau de mer. L’intérêt des produits de la mer, en particulier celui des algues, est connu en agriculture depuis bien plus longtemps que l’ORMUS. Maynard Murray a rassemblé de nombreuses données sur la santé d’animaux nourris de grains cultivés sur des terres traitées à l’eau de mer.
Selon les cultures, dix à cinquante litres de concentré par hectare suffisent. Les résultats obtenus de cette façon dépassent largement ceux de l’eau de mer, comme en témoignent les photos (ci-dessus).
On a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille des autres et produit six fois plus de noix ; quant aux noix elles-mêmes, elles sont grosses comme des mandarines !
Un prunier a produit, dès la première année de traitement, des fruits deux fois plus lourds que ceux de l’arbre témoin ; et après deux ans, ce poids a été multiplié par cinq. On voit, sur une photo, un agriculteur juché sur un escabeau pour atteindre ses plants de maïs de 3,60 m de haut.
Citons également ces oranges de la taille de petits melons. On sait également que les plantes traitées aux ORMUS sont non seulement plus productives mais qu’elles arrivent plus tôt à maturité, nécessitent moins d’engrais et résistent mieux aux parasites. En plus, les fruits ont meilleur goût ! J’ai moi-même expérimenté les ORMUS sur les pommes de terre. Sur quatre rangs de deux espèces différentes, deux ont été traités et les deux autres ont simplement reçu l’équivalent en eau. Résultat : 14 kg pour les témoins, 26 kg pour les plants traités. J’ai aussi obtenu des carottes de plus de 450 grammes.
On a régulièrement observé que les productions augmentent encore la deuxième année et les suivantes, après le traitement. Cela est probablement dû à ce que l’ORMUS enrichit la teneur du sol en minéraux.
La fin de la désertification
La croissance démographique est inexorable et, en même temps,
la surface de sol arable est limitée et déjà en grande partie
cultivée. S’il était possible ne fut-ce que de doubler la
production grâce à cette préparation bon marché à partir de
l’eau de mer, la menace de famine ferait place à l’abondance. Leur forte
concentration dans l’eau de mer laisse supposer qu’au fil du
temps, ils y ont été entraînés par le ruissellement. Cela
pourrait expliquer la désertification croissante d’une bonne
partie des surfaces terrestres. Le phénomène pourrait être
endigué en traitant à l’ORMUS de vastes étendues de terrain,
par exemple par des arrosages aériens, surtout sur les forêts.
En outre, pour remplacer les combustibles fossiles, on
pourrait augmenter également, sur des surfaces plus réduites, la
croissance des plantes productrices de biocarburants.