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Le minéral manquant


De l'espagnol indigo, du latin Indium: Inde. L'indium fut découvert en 1863 par Ferdinand Reich et Théodore Richter à la suite de l'analyse spectroscopique d'un échantillon de blende qui leur révéla deux raies indigo jusqu'alors inconnues.

Présent en faible quantité dans la croûte terrestre (0,05ppm), l'indium fait partie des éléments les plus rares sur la planète - lien - Selon le National Institute of Environmental Health Sciences qui publia l'étude "TRACE METALS IN THE ENVIRONMENT" au Volume 5 : INDIUM. p.9 et 537, l'absorption totale d'indium provenant de l'alimentation, par jour et par personne, est inférieure à 8 microgrammes (0,008mg) tandis qu'il n'est absorbé par l'organisme qu'à hauteur de 0,2 ug, ce qui représente un apport insignifiant.

N°49 dans le tableau périodique des éléments, l'indium est un élément fascinant pour de nombreuses raisons. Bien que l'indium ne soit actuellement pas reconnu en tant qu'oligo-élément il est néamoins utilisé depuis plus de 80 ans comme remède homéopathique (indium metallicum) - lien - Du fait de sa quasi-absence dans la chaîne alimentaire l'indium est considéré comme un élément nutritif superflu. Pourtant, les découvertes de quelques chercheurs on fait de l'indium un élément qui pourrait marquer l'histoire de la nutrition.

NOTE : L'article qui suit est patrtagé à but strictement informatif et scientifique. Cet article relate le travail d'Henry Schroeder sous réserve d'appronfondissements. Veuillez prendre connaissance des mentions légales et avertissements sur l'indium.





Dr Henry A. Schroeder (1906-1975)


Henry Alred Schroeder était un physicien américain, toxicologue, professeur et écrivain spécialisé à la fois dans la recherche sur les oligo-éléments et sur les dangers des métaux lourds. Membre de l'académie de médecine de New-York et ancien commandant de l'US Navy, il finit sa vie comme professeur de physiologie à l'université médicale de Dartmouth où il étudiera abondemment les minéraux et oligo-éléments. Durant sa vie il publiera 7 livres et des centaines de publications scientifiques sur divers sujets. Il meurt en 1975 à 68 ans, seulement 4 ans après son départ de Darthmouth. Schroeder partageait une grande passion et enthousiasme dans ses recherches sur les minéraux. Il fut un pionnier dans la découverte du chrome en tant qu'oligo-élément, où il collabora avec d'autres experts internationaux comme Walter Mertz. Il suggéra dès les années 50 que la consommation excessive de sucre raffiné était responsable de carences en chrome dans l'organisme, ce qui ne sera confirmé que bien plus tard - lien - Il étudia aussi notamment le manganese, le selenium et le vanadium. Schroeder est considéré comme le père du régime faible en sodium et de divers protocoles sur l'hypertension et les maladies cardio-vasculaires. Dans les années 60, il devient une figure incontournable dans le petit milieu de la recherche sur la nutrition et les oligo-éléments. Ses livres sur la pollution environnementale des métaux lourds (plomb, cadmium, mercure) sont toujours encore des références et ses travaux ont joué un rôle central dans la décision de retirer le plomb de l'essence dans les années 60.



 

« Darwin voyait l'homme en tant que cellules, plus tard les scientifiques le virent en tant que molécules. Aujourd'hui Henry A. Schroeder explore l'Homme en tant qu'atomes. De la même manière que la course spatiale a révélé le rôle des métaux rares dans la technologie, comme le titane, les découvertes du docteur Schroeder révèlent l'équilibre critique du corps humain influencé par seulement quelques atomes d'éléments rares et méconnus. »

Richard Buckminster Fuller




Les premiers chercheurs à conduire des études nutritionelles sur l'indium furent le docteur Schroeder et Mitchner, Kanisawa, Balssa, Nason et Vinton de l'université médicale de Darthmouth de 1964 à 1973, ils publièrent treize études sur l'effet de l'indium et d'autres métaux rares sur les souris, les principaux furent publiés dans le Journal of Nutrition Vol. 101-10, pages 1431-1438 (1971) sous le titre “Scandium ... Indium in Mice effects”, aussi dans le Journal of Nutrition Vol. 104, pages 157-168 (1974); et Vol. 106-2, pages 198-203 (1976) sous le titre “Interactions of Trace Metals In Mouse Tissues.”

Selon Schroeder, l'indium est un oligo-élément dont l'action aiderait à équilibrer le systême endocrinien et hormonal dans son ensemble. L'indium serait donc le minéral de la performance glandulaire. La prise quotidienne d'indium ayant plus tard démontré des améliorations significatives au niveau de la mémoire, de la libido, de la régulation du poids et des niveaux de glycémie. Il fut égalemen prouvé que la supplémentation en indium améliore l'absorption d'autres oligo-éléments essentiels dans l'organisme - comme le cuivre et le zinc, le manganèse et le chrome - leur permettant ainsi d'exécuter leurs fonctions plus efficacement. Lors de tests sur l'animal, les hausses des taux d'absorption s'échelonnaient de 60 à 694% en fonction des organes observés. - lien -

Après la mort de Schroeder en 1975, une poignée de chercheurs seulement poursuivirent la piste de l'indium, c'est le cas du hongrois Lyons et de l'américain Bonadio - lien - qui incorporent l'indium dans leur activité médicale et confirment ses effets biologiques. Un accroissement rapide de l'énergie et de la force sont un des effets les plus fréquemment rapportés par les sportifs ou amateurs de fitness. De même, les premiers signes d'améliorations en terme de bien être global suivent généralement après seulement 5 à 10 jours de supplémentation. D'autres effets à plus long terme sont évoqués, incluant une affinité pour la thyroïdes et une diminution significative des signes de l'âge.

Selon les expériences menées, les effets bénéfiques de l'Indium surviendraient rapidement.

- amélioration du sommeil au bout de 15 jours
- sensation de bien-être après 1 semaine
- meilleure résistance physique au terme de 2 semaines
- glycémie normalisée après 3-5 semaines
- normalisation de la libido après 4 semaines
- tension artérielle régularisée au bout de 10 semaines
- normalisation des menstruations au bout de 3 mois
- tension oculaire stable au bout de 4 mois

Si l'indium n'avait qu'une partie des propriétés qu'on lui attribue il serait déjà un complément nutritionnel exceptionnel.





Base de fonctionnement, théorie en vigueur


Plus de 1000 volontaires chez l'homme étudiés par le Dr George Bonadio sur les 30 dernières années suggèrent que l'indium normalise les glandes majeures pituitaire-hypothalamus-pinéale, tout comme l'ensemble des glandes endocrines et des hormones produites incluant les hormones de croissance humaines, la DHEA, la Mélatonine, des stéroïdes et hormones thyroïdiennes.

L'indium semble travailler via le cycle de retour d'information dans l'axe hypothalamus/pituitaire/surrénalien (anglais - HPA). Ces glandes dirigent les fonctions de 40 glandes endocrines et aident à réguler la production de 31 hormones.

L'hypothalamus est un organe du système nerveux central, situé au coeur du cerveau, il est la clé de l'homeostase et des fonctions parasympathiques comme la respiration, la température de corps, la consommation de nourriture et d'eau ainsi que la stimulation du milieu gastro-intestinal.

La pituitaire commande la diffusions des hormone de croissance, les glandes sexuelles et la fonction des glandes surrénales. Les glandes surrénales produisent des sterols comme l'adrénaline, l'epinephrine et le cortisol. Ces hormones règulent les effets d'inflammation aussi bien que la perception de douleur, la fatigue et la vigilance mentale.

La mise en équilibre du cycle de retour d'information du complexe HPA synchronise la fonction et la production d'au moins 31 hormones.

Une des théories quant au processus de vieillissement est qu'il implique la diminution de production de certaines hormones à mesure que nous prenons de l'âge. L'Indium semble agir en ce point en équilibrant et synchronisant le complexe HPA, l'hypothalamus, des glandes pituitaires et surrénales. Les hormones sont actives dans le contrôle du sommeil, du métabolisme, de la température de corps, de l'appétit, la tension, le désir sexuel et beaucoup d'autres fonctions essentielles du corps.

L'indium stimulerait la production hormonale à des niveaux comparables à ceux de la jeunesse, il agit directement sur le principal axe producteur d'hormones et influe sur les divers aspects du processus de vieillissement - par exemple, la provision d'hormones de croissance qui contrôlent le métabolisme et affecte la densité osseuse est stimulée. L'Indium agirait aussi positivement sur la thyroïde en assistant les niveaux de hormonaux appropriés, il en résulte plus de calories brûlées et une aide dans la normalisation du poids.

Possibles bénéfices additionnels rapportés

- Amélioration de l'endurance.
- Amélioration de la mémoire
- Qualité du sommeil (melatonine pinéale)
- Aide pour les migraines
- Aide à la normalisation du taux de glycémie
- Normalisation de la pression sanguine
- Amoindrit les effets de la ménopause
- Améliore la pousse des cheveux
- Réduit la durée et la force des coups de froid
- Amélioration de la libido chez l'homme et la femme
- Amélioration des maladies de la prostate


• Indium et perte de poids

Les recherches ont fait remarquer que l’indium était susceptible d'avoir une incidence sur le poids : les personnes traitées maigrissent. Cette remarque est plus évidente chez les femmes que chez les hommes. L’indium permet aux hommes comme aux femmes de conserver un poids stable sans variations dangereuses qui mettent parfois la santé en danger. L’indium a un effet bénéfique sur la thyroïde dont il stimule et normalise le fonctionnement, permettant ainsi à l’organisme de brûler plus de calories et de normaliser son poids. L’indium rend la personne plus énergique. Ainsi, plus actives, les personnes brûlent plus de calories, développent les muscles plutôt que les tissus adipeux.


• Indium et longevité

L’indium semble agir comme un véritable catalyseur. En aidant à assimiler les oligo-éléments, l’indium améliore de nombreux processus physiologiques du corps, donc améliore la santé générale et la longévité. Il ne s’agit pas de stopper le vieillissement, mais d’améliorer la qualité de vie de la seconde partie de l’existence humaine.


• Indium et hormones

Comme expliqué précedemment, l’indium semble exercer une influence de régulateur de l’hypothalamus. L’hypophyse qui contrôle la production de plus de 30 hormones et la glande thyroïde semblent réagir à cet élément. Les expériences suggèrent une amélioration de l'équilibre hormonal après supplémentation avec de l’indium.


• Indium et performances sportives

L’indium diminuerait l’accumulation de l’acide lactique car il permet de l’extraire des tissus musculaires. Chez les personnes de plus de 40 ans, l’indium confère une correction de la baisse hormonale et augmente l’endurance (sans effets secondaires) et permet d’observer de meilleurs résultats dans n’importe quelle activité sportive.










Conclusions et directions pour la recherche future


Les plus grandes découvertes dans le champ des minéraux et oligo-éléments ont eu lieu au cours du XXème siècle. Avec une période d'effeversence durant les décennies 60 à 80. Cette période culmine lors de l'organisation conjointe par l'OMS, la FAO et l'AIEA d'un sommet sur les minéraux et oligo-éléments et la santé humaine, tenu à Genève du 18 au 22 juin 1990. Un sommet qui présentera les conclusions de plus de deux ans de travail d'un groupe d'experts sous la présidence de Walter Mertz, afin de synthétiser l'état actuel des connaissances sur les oligo-éléments. Depuis lors, nous pouvons déplorer le manque d'intérêt des programmes modernes de recherche sur le sujet. Par exemple, le vanadium a montré des effets prometteurs sur la santé osseuse, l'ostéogénèse et la régulation de la glycémie. Pourtant les programmes de recherche approfondis sur cet élément sont quasi inexistants et le rôle du vanadium n'est toujours pas compris.

L'idée selon laquelle nous vivons une ère où tout a été découvert n'est pas exacte. Le contraire est vrai : tant reste à découvrir. La recherche future pourrait se concentrer sur deux aspects: l'étude approfondie des effets de la supplémentation en indium et le besoin d'établir si l'indium appartient aux oligo-éléments utiles à l'homme. Les quelques études citées ici sont encourageantes. Une exploration systématique des concentrations d'indium dans le sang, les tissus nerveux et glandulaire peut être effectuée. Les résultats seraient intéressants dans les cas de troubles glandulaires. Mais beaucoup d'autres recherches seront nécessaires pour confirmer ces observations et déterminer le rôle biologique de l'indium.

La reconnaissance de l'indium comme un oligo-élément est un défi de taille. Il existe des milliers d'études sur des éléments tels que le chrome, le bore, qui ont été récemment proposées comme éléments nutritifs essentiels (Nielsen, 1990). Il faut en moyenne environ 30-40 ans pour l'acceptation générale et l'application de la découverte d'un oligo-élément essentiel nouveau (Mertz, 1998). Des études plus poussées s'avèreront nécéssaires, pour comprendre son rôle physiologique exact, l'effet de sa carence et les interactions avec différents facteurs (stress, etc..) Il y'a un besoin de financement de programmes de recherche, qu'ils soient publics ou privés. Le statu-quo actuel doit être bousculé, peut-être par des chercheurs indépendants comme Schroeder en son temps.







" Indium - le minéral manquant "
par le dr Robert Lyons (épuisé chez l'éditeur) en téléchargement gratuit ici

Avertissement et mentions légales INDIUM









MINERAUX ET OLIGO-ÉLÉMENTS DEPUIS 2010



























Le minéral manquant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 










Le minéral manquant


De l'espagnol indigo, du latin Indium: Inde. L'indium fut découvert en 1863 par Ferdinand Reich et Théodore Richter à la suite de l'analyse spectroscopique d'un échantillon de blende qui leur révéla deux raies indigo jusqu'alors inconnues.

Présent en faible quantité dans la croûte terrestre (0,05ppm), l'indium fait partie des éléments les plus rares sur la planète - lien - Selon le National Institute of Environmental Health Sciences qui publia l'étude "TRACE METALS IN THE ENVIRONMENT" au Volume 5 : INDIUM. p.9 et 537, l'absorption totale d'indium provenant de l'alimentation, par jour et par personne, est inférieure à 8 microgrammes (0,008mg) tandis qu'il n'est absorbé par l'organisme qu'à hauteur de 0,2 ug, ce qui représente un apport insignifiant.

N°49 dans le tableau périodique des éléments, l'indium est un élément fascinant pour de nombreuses raisons. Bien que l'indium ne soit actuellement pas reconnu en tant qu'oligo-élément il est néamoins utilisé depuis plus de 80 ans comme remède homéopathique (indium metallicum) - lien - Du fait de sa quasi-absence dans la chaîne alimentaire l'indium est considéré comme un élément nutritif superflu. Pourtant, les découvertes de quelques chercheurs on fait de l'indium un élément qui pourrait marquer l'histoire de la nutrition.

NOTE : L'article qui suit est patrtagé à but strictement informatif et scientifique. Cet article relate le travail d'Henry Schroeder sous réserve d'appronfondissements. Veuillez prendre connaissance des mentions légales et avertissements sur l'indium.
ici







Dr Henry A. Schroeder (1906-1975)


Henry Alred Schroeder était un physicien américain, toxicologue, professeur et écrivain spécialisé à la fois dans la recherche sur les oligo-éléments et sur les dangers des métaux lourds. Membre de l'académie de médecine de New-York et ancien commandant de l'US Navy, il finit sa vie comme professeur de physiologie à l'université médicale de Dartmouth où il étudiera abondemment les minéraux et oligo-éléments. Durant sa vie il publiera 7 livres et des centaines de publications scientifiques sur divers sujets. Il meurt en 1975 à 68 ans, seulement 4 ans après son départ de Darthmouth. Schroeder partageait une grande passion et enthousiasme dans ses recherches sur les minéraux. Il fut un pionnier dans la découverte du chrome en tant qu'oligo-élément, où il collabora avec d'autres experts internationaux comme Walter Mertz. Il suggéra dès les années 50 que la consommation excessive de sucre raffiné était responsable de carences en chrome dans l'organisme, ce qui ne sera confirmé que bien plus tard - lien - Il étudia aussi notamment le manganese, le selenium et le vanadium. Schroeder est considéré comme le père du régime faible en sodium et de divers protocoles sur l'hypertension et les maladies cardio-vasculaires. Dans les années 60, il devient une figure incontournable dans le petit milieu de la recherche sur la nutrition et les oligo-éléments. Ses livres sur la pollution environnementale des métaux lourds (plomb, cadmium, mercure) sont toujours encore des références et ses travaux ont joué un rôle central dans la décision de retirer le plomb de l'essence dans les années 60.


 
« Darwin voyait l'homme en tant que cellules, plus tard les scientifiques le virent en tant que molécules. Aujourd'hui Henry A. Schroeder explore l'Homme en tant qu'atomes. De la même manière que la course spatiale a révélé le rôle des métaux rares dans la technologie, les découvertes du docteur Schroeder révèlent l'équilibre critique du corps humain influencé par seulement quelques atomes d'éléments rares et méconnus. »

Richard Buckminster Fuller



Les premiers chercheurs à conduire des études nutritionelles sur l'indium furent le docteur Schroeder et Mitchner, Kanisawa, Balssa, Nason et Vinton de l'université médicale de Darthmouth de 1964 à 1973, ils publièrent treize études sur l'effet de l'indium et d'autres métaux rares sur les souris, les principaux furent publiés dans le Journal of Nutrition Vol. 101-10, pages 1431-1438 (1971) sous le titre “Scandium ... Indium in Mice effects”, aussi dans le Journal of Nutrition Vol. 104, pages 157-168 (1974); et Vol. 106-2, pages 198-203 (1976) sous le titre “Interactions of Trace Metals In Mouse Tissues.”

Selon Schroeder, l'indium est un oligo-élément dont l'action aiderait à équilibrer le systême endocrinien et hormonal dans son ensemble. L'indium serait donc le minéral de la performance glandulaire. La prise quotidienne d'indium ayant plus tard démontré des améliorations significatives au niveau de la mémoire, de la libido, de la régulation du poids et des niveaux de glycémie. Il fut égalemen prouvé que la supplémentation en indium améliore l'absorption d'autres oligo-éléments essentiels dans l'organisme - comme le cuivre et le zinc, le manganèse et le chrome - leur permettant ainsi d'exécuter leurs fonctions plus efficacement. Lors de tests sur l'animal, les hausses des taux d'absorption s'échelonnaient de 60 à 694% en fonction des organes observés. - lien -

Après la mort de Schroeder en 1975, une poignée de chercheurs seulement poursuivirent la piste de l'indium, c'est le cas du hongrois Lyons et de l'américain Bonadio - lien - qui incorporent l'indium dans leur activité médicale et confirment ses effets biologiques. Un accroissement rapide de l'énergie et de la force sont un des effets les plus fréquemment rapportés par les sportifs ou amateurs de fitness. De même, les premiers signes d'améliorations en terme de bien être global suivent généralement après seulement 5 à 10 jours de supplémentation. D'autres effets à plus long terme sont évoqués, incluant une affinité pour la thyroïdes et une diminution significative des signes de l'âge.

Selon les expériences menées, les effets bénéfiques de l'Indium surviendraient rapidement.

- amélioration du sommeil au bout de 15 jours
- sensation de bien-être après 1 semaine
- meilleure résistance physique au terme de 2 semaines
- glycémie normalisée après 3-5 semaines
- normalisation de la libido après 4 semaines
- tension artérielle régularisée au bout de 10 semaines
- normalisation des menstruations au bout de 3 mois
- tension oculaire stable au bout de 4 mois


Si l'indium n'avait qu'une partie des propriétés qu'on lui attribue il serait déjà un complément nutritionnel exceptionnel.







Base de fonctionnement, théorie en vigueur


Plus de 1000 volontaires chez l'homme étudiés par le Dr George Bonadio sur les 30 dernières années suggèrent que l'indium normalise les glandes majeures pituitaire-hypothalamus-pinéale, tout comme l'ensemble des glandes endocrines et des hormones produites incluant les hormones de croissance humaines, la DHEA, la Mélatonine, des stéroïdes et hormones thyroïdiennes.

L'indium semble travailler via le cycle de retour d'information dans l'axe hypothalamus/pituitaire/surrénalien (anglais - HPA). Ces glandes dirigent les fonctions de 40 glandes endocrines et aident à réguler la production de 31 hormones.

L'hypothalamus est un organe du système nerveux central, situé au coeur du cerveau, il est la clé de l'homeostase et des fonctions parasympathiques comme la respiration, la température de corps, la consommation de nourriture et d'eau ainsi que la stimulation du milieu gastro-intestinal.

La pituitaire commande la diffusions des hormone de croissance, les glandes sexuelles et la fonction des glandes surrénales. Les glandes surrénales produisent des sterols comme l'adrénaline, l'epinephrine et le cortisol. Ces hormones règulent les effets d'inflammation aussi bien que la perception de douleur, la fatigue et la vigilance mentale.

La mise en équilibre du cycle de retour d'information du complexe HPA synchronise la fonction et la production d'au moins 31 hormones.

Une des théories quant au processus de vieillissement est qu'il implique la diminution de production de certaines hormones à mesure que nous prenons de l'âge. L'Indium semble agir en ce point en équilibrant et synchronisant le complexe HPA, l'hypothalamus, des glandes pituitaires et surrénales. Les hormones sont actives dans le contrôle du sommeil, du métabolisme, de la température de corps, de l'appétit, la tension, le désir sexuel et beaucoup d'autres fonctions essentielles du corps.

L'indium stimulerait la production hormonale à des niveaux comparables à ceux de la jeunesse, il agit directement sur le principal axe producteur d'hormones et influe sur les divers aspects du processus de vieillissement - par exemple, la provision d'hormones de croissance qui contrôlent le métabolisme et affecte la densité osseuse est stimulée. L'Indium agirait aussi positivement sur la thyroïde en assistant les niveaux de hormonaux appropriés, il en résulte plus de calories brûlées et une aide dans la normalisation du poids.


Possibles bénéfices additionnels rapportés

- Amélioration de l'endurance.
- Amélioration de la mémoire
- Qualité du sommeil (melatonine pinéale)
- Aide pour les migraines
- Aide à la normalisation du taux de glycémie
- Normalisation de la pression sanguine
- Amoindrit les effets de la ménopause
- Améliore la pousse des cheveux
- Réduit la durée et la force des coups de froid
- Amélioration de la libido chez l'homme et la femme
- Amélioration des maladies de la prostate


• Indium et perte de poids

Les recherches ont fait remarquer que l’indium était susceptible d'avoir une incidence sur le poids : les personnes traitées maigrissent. Cette remarque est plus évidente chez les femmes que chez les hommes. L’indium permet aux hommes comme aux femmes de conserver un poids stable sans variations dangereuses qui mettent parfois la santé en danger. L’indium a un effet bénéfique sur la thyroïde dont il stimule et normalise le fonctionnement, permettant ainsi à l’organisme de brûler plus de calories et de normaliser son poids. L’indium rend la personne plus énergique. Ainsi, plus actives, les personnes brûlent plus de calories, développent les muscles plutôt que les tissus adipeux.


• Indium et longevité

L’indium semble agir comme un véritable catalyseur. En aidant à assimiler les oligo-éléments, l’indium améliore de nombreux processus physiologiques du corps, donc améliore la santé générale et la longévité. Il ne s’agit pas de stopper le vieillissement, mais d’améliorer la qualité de vie de la seconde partie de l’existence humaine.


• Indium et hormones

Comme expliqué précedemment, l’indium semble exercer une influence de régulateur de l’hypothalamus. L’hypophyse qui contrôle la production de plus de 30 hormones et la glande thyroïde semblent réagir à cet élément. Les expériences suggèrent une amélioration de l'équilibre hormonal après supplémentation avec de l’indium.


• Indium et performances sportives

L’indium diminuerait l’accumulation de l’acide lactique car il permet de l’extraire des tissus musculaires. Chez les personnes de plus de 40 ans, l’indium confère une correction de la baisse hormonale et augmente l’endurance (sans effets secondaires) et permet d’observer de meilleurs résultats dans n’importe quelle activité sportive.



Conclusions et directions pour la recherche future


Les plus grandes découvertes dans le champ des minéraux et oligo-éléments ont eu lieu au cours du XXème siècle. Avec une période d'effeversence durant les décennies 60 à 80. Cette période culmine lors de l'organisation conjointe par l'OMS, la FAO et l'AIEA d'un sommet sur les minéraux et oligo-éléments et la santé humaine, tenu à Genève du 18 au 22 juin 1990. Un sommet qui présentera les conclusions de plus de deux ans de travail d'un groupe d'experts sous la présidence de Walter Mertz, afin de synthétiser l'état actuel des connaissances sur les oligo-éléments. Depuis lors, nous pouvons déplorer le manque d'intérêt des programmes modernes de recherche sur le sujet. Par exemple, le vanadium a montré des effets prometteurs sur la santé osseuse, l'ostéogénèse et la régulation de la glycémie. Pourtant les programmes de recherche approfondis sur cet élément sont quasi inexistants et le rôle du vanadium n'est toujours pas compris.

L'idée selon laquelle nous vivons une ère où tout a été découvert n'est pas exacte. Le contraire est vrai : tant reste à découvrir. La recherche future pourrait se concentrer sur deux aspects: l'étude approfondie des effets de la supplémentation en indium et le besoin d'établir si l'indium appartient aux oligo-éléments utiles à l'homme. Les quelques études citées ici sont encourageantes. Une exploration systématique des concentrations d'indium dans le sang, les tissus nerveux et glandulaire peut être effectuée. Les résultats seraient intéressants dans les cas de troubles glandulaires. Mais beaucoup d'autres recherches seront nécessaires pour confirmer ces observations et déterminer le rôle biologique de l'indium.

La reconnaissance de l'indium comme un oligo-élément est un défi de taille. Il existe des milliers d'études sur des éléments tels que le chrome, le bore, qui ont été récemment proposées comme éléments nutritifs essentiels (Nielsen, 1990). Il faut en moyenne environ 30-40 ans pour l'acceptation générale et l'application de la découverte d'un oligo-élément essentiel nouveau (Mertz, 1998). Des études plus poussées s'avèreront nécéssaires, pour comprendre son rôle physiologique exact, l'effet de sa carence et les interactions avec différents facteurs (stress, etc..). Il y'a un besoin de financement de programmes de recherche, qu'ils soient publics ou privés. Le statu-quo actuel doit être bousculé, peut-être par des chercheurs indépendants comme Schroeder en son temps.



Protocole Indium


Une goutte sous la langue pour 25kg de masse corporelle. Il est inutile de dépasser 3 gouttes quotidiennement. Prendre à jeun, puis patienter 15 - 20 minutes avant l'absorption d'eau ou de nourriture.


Précautions

L'indium ne s'utilise pas sur une peau blessée et il convient d'éviter le contact avec les yeux. Ne pas prendre chez la femme enceinte. L’indium n’apporte pas de bénéfices aux personnes souffrant de diabète de Type 1 étant 100% dépendantes à l’insuline. En cas d'ingestion massive par un enfant, il est indiqué de manger et de boire, l'indium se lie facilement aux aliments et devient alors inactif.

Des troubles mineurs peuvent survenir suite aux premiers jours de prise en raison de la stimulation endocrinienne. En cas de maux de tête, réduire ou espacer significativement les doses jusqu’à disparition des symptômes, puis augmenter à nouveau, petit à petit.


Toxicité

Le niveau toxique d'ingestion de l'indium est supérieur à 1000 fois la dose préconisée.

"Les tests sur l'animal montrent que le taux d'administration devrait être près de 1000 fois supérieur pour intoxiquer la souris" Chapin RE, Harris MW, Hunter ES 3rd, Davis BJ, Collins BJ, Lockhart AC. - lien -

En rapport équitable, une bouteille entière ne contiendrait donc pas une quantité suffisante nécéssaire à une intoxication. Toutefois, un excès important pourrait causer des nausées du fait de son goût acre.






Indium - Le minéral manquant
Par le dr Robert Lyons (épuisé chez l'éditeur)
en téléchargement gratuit ici














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